7 avril 2007
A ma marraine
Toi qui
m'aimait,moi qui t'aimais,
La vie nous a séparé,trop
tôt à mon gré
Tu n'as pas pu me voir
grandir,
Car la maladie t'a fait mourir.
Voila soixante et
un ans que tu nous a quitté,
Et ton souvenir est toujours
vivant.
Dans mon vieux coeur bléssé,
Ton souvenir
est toujours présent.
Dans mes rêves,tel une
hirondelle,
Je passe toujours sur la passerelle,
Pour aller te
voir avec Pépé,
Dans ce cimetière d'hussein
dey.
Mais,patience,car le jour viendra,
Ou nos ames
vagabondes
Se retrouveront là bas
Et nous danserons une
ronde
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