
Ces deux textes résument à merveille le ressenti des éxilés ,(volontaires ou obligés hélas)
-A mesure que la vie passe,la griserie de la Métropole s'évanouit et l'Algérie revient,J'aime l'écouter bruire en moi comme une source que la poussière des années n'a pas réussi à altérer,Peutêtre n'y aije pas toujours été heureux-l'ombre de la guerre recouvrait souvent les terrasses-,mais je crois avoir tout appris là-bas,dans le parfum des blés et des nèfles gorgées de suc : le goût du plaisir,la volupté de...
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