
Pour avoir, dans un journal allemand, pris ses distances avec la politique menée et déclaré notamment que "l’armée ne pouvait s’attendre à une telle attitude" de la part du chef de l’État, le général Massu, commandant du corps d’armée d’Alger, adulé dans la ville blanche pour y avoir brisé les réseaux terroristes en 1957, est rappelé à Paris. La nouvelle fait éclater une contestation qui grondait depuis des mois. Une grève générale est décrétée à Alger par les nationalistes les plus virulents, massivement soutenus par les...
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